À l’occasion de la sortie de Scream VI, Paramount Pictures France a imaginé, avec l’agence Creapills, une opération choc qui a glacé le sang de spectateurs… et enflammé les réseaux sociaux. L’idée : recréer la peur culte de la saga dans une salle de cinéma, en conditions réelles, pour donner aux spectateurs un avant-goût du film.
Tout commence comme une séance classique. Les premiers arrivés s’installent tranquillement dans la salle, souvent seuls ou en petit groupe. Les lumières s’éteignent, puis… panne de courant. Quand elles se rallument, Ghostface, le tueur masqué iconique de Scream, se tient au fond de la salle.

S’ensuivent plusieurs coupures et réapparitions, à chaque fois un peu plus près des spectateurs, jusqu’à ce que la tension atteigne son paroxysme. La scène est filmée en caméra cachée, capturant les cris, les rires nerveux et les réactions paniquées du public.
Une campagne pensée pour les réseaux sociaux
Conçue comme une activation virale, l’opération a été largement diffusée sur les plateformes sociales, en particulier TikTok, où le relais a généré près de 10 000 likes et des milliers de partages. Le concept joue sur la peur, mais avec une bonne dose de second degré, pour inciter les spectateurs à vivre l’expérience Scream 6 sur grand écran.
La baseline, « Il vous attend. N’y allez pas seul. », résume parfaitement le message : retrouver Ghostface au cinéma, c’est toujours plus effrayant… surtout en compagnie.
Quand le marketing joue avec l’émotion brute
En jouant sur les codes du film d’horreur et l’immersion totale, cette opération démontre la force du marketing expérientiel : transformer une simple promo en moment mémorable, que les participants ont envie de raconter et de partager. Un concept simple, une exécution millimétrée, et le résultat : une campagne qui marque les esprits et amplifie l’envie de se rendre en salle.
L’occasion aussi de redécouvrir une autre opération signée Creapills pour la promo de SCREAM VI, où les spectateurs des avant-premières en Europe devaient littéralement crier pour voir le film. Une idée virale qui a touché plus de 350 millions d’internautes dans le monde.





