L’idée créative en un clin d’œil
- Allegro signe un film de Noël doux et mélancolique où Ida, une fillette souvent seule, invente des amis imaginaires pour combler l’absence des parents, révélant une vérité universelle sur le manque de temps en famille.
- Ces créatures hybrides, jouées par des marionnettistes puis magnifiées par l’IA, deviennent des présences rassurantes et poétiques qui illustrent comment l’imagination sert de refuge émotionnel.
- La fable rappelle qu’un simple moment partagé suffit à dissiper la solitude, montrant que ce que les enfants attendent vraiment en décembre, ce n’est pas un cadeau parfait mais une présence à leurs côtés.
Dans la jungle des films de Noël, certains misent sur la magie. D’autres sur l’humour. Allegro, lui, choisit ce qui manque le plus aux familles : du temps. Pour sa nouvelle campagne imaginée avec DDB, la plateforme polonaise dévoile un film doux et mélancolique qui suit Ida, une fillette dont les amis imaginaires comblent les absences du quotidien.
Ces créatures étranges, tendres et un peu dépareillées, l’aident à préparer son sac, l’accompagnent à l’arrêt de bus, ou lui tiennent simplement compagnie lorsque la maison devient trop silencieuse. Elles ne sont pas là pour amuser. Elles sont là pour rassurer. Car derrière elles se cache une vérité universelle : quand les parents courent partout, les enfants inventent des présences pour ne pas se sentir seuls.
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Quand l’imagination sert de refuge
Ida n’est jamais vraiment seule. Un ami en fourrure la suit dans le couloir. Un autre, aux bras interminables, lui tend son manteau. Un troisième danse juste pour la faire sourire. Tous sont les projections d’un besoin simple et bouleversant : être entourée.
Le film met en lumière ce décalage moderne où les journées débordent, les agendas étouffent et où les enfants apprennent trop tôt à combler les vides. Loin d’accabler qui que ce soit, la campagne montre surtout comment ces présences imaginaires deviennent des béquilles affectives, des remparts contre l’absence et les minutes qu’on ne trouve plus.
Une production hybride qui mêle marionnettes et IA
Pour donner vie à ces compagnons invisibles, la production a fait un choix rare : combiner techniques traditionnelles et intelligence artificielle. Des marionnettistes, des performers perchés sur échasses, un travail physique très concret sur les costumes… puis une couche d’IA pour adoucir, métamorphoser et insuffler une mélancolie presque irréelle.
Cette combinaison crée un résultat surprenant : des créatures palpables mais toujours un peu oniriques, comme sorties d’un rêve d’enfant. Rien n’écrase l’émotion, tout sert l’essentiel : raconter une histoire intime, presque fragile, où la technologie ne dépasse jamais la tendresse.

Une fable moderne sur le temps qu’on ne rattrape pas
Ida n’a pas besoin d’un cadeau parfait. Elle n’attend pas un miracle. Au fil du film, un geste simple vient tout changer : un parent qui s’assoit, qui écoute, qui reste. Et les silhouettes imaginaires s’estompent doucement, comme si l’enfant n’avait plus besoin de combler l’espace.
Allegro signe ici une fable chaleureuse, profondément humaine, qui rappelle qu’en décembre plus qu’à n’importe quel moment de l’année, ce que les enfants attendent vraiment n’est pas au pied du sapin mais à côté d’eux.
Et si vous aimez les récits de Noël qui transforment la douceur en émotion brute, allez (re)découvrir l’histoire bouleversante d’un âne maltraité devenu héros malgré lui. Une autre façon de montrer que la magie revient parfois là où on ne l’attend plus.














