L’horreur s’invite dans les rues de Londres. Pour annoncer la sortie de Black Phone 2, Blumhouse a imaginé une installation interactive glaçante dans le quartier de Camden : un téléphone noir, posé contre un mur, qui se met à sonner. Ceux qui ont osé décrocher ont vécu une expérience inoubliable : un véritable “cold call from hell” orchestré par The Grabber, le tueur masqué incarné par Ethan Hawke.
Pensée comme une fusion entre publicité et théâtre immersif, cette opération transforme le simple fait de décrocher un combiné en moment de panique pure. Cri, sursaut et rires nerveux : l’expérience a rapidement enflammé les réseaux sociaux, confirmant qu’en matière de frisson, Blumhouse reste maître du genre.
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Une campagne où l’horreur devient réelle
Fixé à un panneau spécialement conçu pour l’occasion, le téléphone noir semblait inoffensif… jusqu’à ce que retentisse la voix sinistre du Grabber. En un instant, la façade s’illuminait, révélant le visage du tueur derrière la vitre du panneau, tandis qu’une bande-son terrifiante et des effets de fumée plongeaient les passants dans la scène.
Les spectateurs, filmant la scène entre effroi et fascination, ont partagé massivement leurs réactions. L’installation, pensée pour brouiller la frontière entre fiction et réalité, a réussi à recréer la tension du film au cœur même de la ville.
Un coup marketing aussi simple qu’efficace
L’idée tient en une phrase : décrocher le téléphone, si vous l’osez. Pas de QR code, pas d’application, juste une interaction physique et immédiate. Ce minimalisme amplifie l’effet de surprise et rend la peur encore plus viscérale. En plaçant ce dispositif à Camden, un quartier dense et animé, la campagne a su capter à la fois les fans de cinéma et les curieux de passage.
À l’heure où la promotion des films se digitalise massivement, cette opération rappelle qu’une expérience vécue reste bien plus marquante qu’une simple bande-annonce… surtout quand elle fait sursauter !
Blumhouse, maître du frisson immersif
Avec Black Phone 2, le studio renouvelle sa capacité à lier storytelling et marketing expérientiel. Déjà connu pour ses campagnes qui brouillent les frontières entre fiction et réalité, Blumhouse transforme ici le mobilier urbain en décor d’angoisse.
Le résultat ? Une publicité qui ne se contente pas de vendre un film, mais qui le fait ressentir littéralement. De quoi faire patienter les fans jusqu’à la sortie du film, prévue le 15 octobre 2025.
Et si vous aimez vous faire des frayeur à l’aide d’un téléphone, nous vous invitons à aller (re)découvrir ce court métrage brillant qui détourne Tinder en film d’horreur.
