Avis aux amateurs de tatouages, on a trouvé une perle en matière de « cover up » ! En effet, il peut parfois arriver que l’on regrette l’encre dans sa peau. Et pour éviter les coûteuses sessions de laser, il existe une autre solution : le « cover », autrement dit, le fait de recouvrir son tatouage déjà existant par un autre, dans le but de le camoufler.
Pour ce faire, nombreux sont ceux qui font appel à la technique du « blackout », qui consiste à tatouer une grande surface de peau, entièrement en noir. Encore faut-il trouver la bonne personne qui possède ce savoir-faire ! Justement, on vous parle aujourd’hui d’Esther Garcia. Avec ses vingt ans de carrière, cette artiste tatoueuse se spécialise dans l’art d’embellir les peaux de ses clients, avec des ornements fleuris, directement inspirés des peintures néerlandaises du 17ème siècle.
Son style particulier surprend en combinant des éléments qu’on pourrait croire opposés. Et pourtant, dans son travail, la tendance « blackout » se mêle à la perfection avec des fleurs qui éclosent, des créatures ailées et des motifs décoratifs qui semblent flotter sur la peau.
Pour un « cover », le pigment noir opaque aide à cacher ce chaos visuel qu’un ancien tatouage pourrait provoquer, et ainsi, faire table rase du passé en créant une toute nouvelle illustration. D’ailleurs, la tendance de ce noir massif est devenue si populaire que la tatoueuse ne se limite plus qu’aux « cover » : certains clients le souhaitent sur leur peau, sans tatouage au préalable ! Allez, assez parlé : on vous laisse observer son travail détaillé.
C’est dégueulasse, et là ça vient d’être effectué, je vous laisse imaginer l’aspect dans quelques années quand la peau va vieillir et se flétrir…