L’idée créative en un clin d’œil
- Avec La Part de Gourmandise, Grand Frais assume une vérité universelle : attendre Noël sans goûter est presque impossible, et ces petits écarts font aussi partie du plaisir des fêtes.
- Imaginée avec Rosa Paris, la campagne détourne la déco de Noël avec des objets malins pour “cacher” les preuves : cache foie gras, bûche, fromage ou chocolat, pour sauver les apparences avec humour.
- Déployée en film, jeu concours et influence, l’opération transforme la gourmandise précoce en moment complice et décomplexé, parfaitement calibré pour les réseaux sociaux.
À l’approche des fêtes, la période est censée rimer avec patience et retenue. En réalité, elle se transforme souvent en torture silencieuse pour les amateurs de bonne chère. Foie gras planqué au fond du frigo, bûche observée du coin de l’œil, chocolats qui disparaissent mystérieusement… Tout le monde connaît ce moment où l’on goûte “juste un peu” avant le jour J.
Plutôt que de lutter contre cette réalité, Grand Frais choisit de l’embrasser pleinement. Avec son agence Rosa Paris, l’enseigne signe La Part de Gourmandise, une campagne qui dédramatise ces petits écarts et les transforme en terrain de jeu créatif, assumant avec humour que Noël commence souvent… bien avant le 25 décembre.
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Une vérité universelle : l’attente est parfois trop longue
La campagne repose sur une observation simple et très juste : certains produits de Noël sont presque impossibles à laisser intacts jusqu’au repas de fête. Plus l’échéance approche, plus la tentation grandit, et plus la culpabilité s’installe chez celles et ceux qui ont déjà “entamé” les festivités.
Grand Frais choisit de ne pas moraliser, mais de sourire de cette faiblesse collective. La marque transforme cette impatience en un moment complice, en rappelant que la gourmandise fait aussi partie du plaisir des fêtes, au même titre que le partage et la convivialité.
Des décorations pas comme les autres pour cacher les preuves
Pour donner corps à cette idée, Grand Frais et Rosa Paris ont imaginé une série de décorations aussi esthétiques que fonctionnelles. Leur rôle : camoufler discrètement les traces des petits craquages avant l’arrivée des invités.
Cache foie gras, cache bûche, cache fromage, cache saumon ou encore cache chocolat… Ces objets détournent les codes de la décoration de Noël pour masquer ce qui a déjà été entamé. Une façon ludique de sauver les apparences tout en continuant à profiter des produits sans frustration.
Un dispositif gourmand pensé pour les réseaux sociaux
L’idée se prolonge avec un film réalisé par Thomas Leisten Schneider, qui met en scène cette gourmandise assumée dans un registre visuel appétissant. En parallèle, un jeu concours permet à la communauté de remporter ces fameux caches, renforçant l’aspect participatif de la campagne.
Pour amplifier la visibilité, Grand Frais s’appuie aussi sur l’influence en envoyant les décorations accompagnées de box gourmandes à plus de 70 créateurs de contenus. Une manière naturelle de faire circuler l’idée sur les réseaux, en jouant sur un insight partagé par tous : à Noël, l’envie de goûter commence toujours un peu trop tôt.
Et si vous souhaitez continuer à faire perdurer la magie de Noël sous le signe de la gourmandise, nous vous conseillons d’aller jeter un œil à la dernière campagne des magasins IGA : un joli film d’animation québécois qui rend hommage aux héros discrets de Noël.
