Jude Law se moque des clichés des comédies romantiques dans la nouvelle campagne Uber Eats

Uber Eats signe une nouvelle campagne où Jude Law tourne le dos à son image de séducteur de comédies romantiques. Dans un spot plein d’autodérision, l’acteur britannique esquive tous les “meet-cutes” pour finalement savourer une récompense bien plus simple : un repas livré par Uber Eats.

Après David et Victoria Beckham, Javier Bardem et Elton John, la plateforme poursuit sa saga “When You’ve Done Enough” en détournant les stéréotypes associés à ses célébrités.

Quand la comédie romantique devient un piège

Le spot, conçu par Mother London et réalisé par David Shane, met en scène Jude Law dans des situations dignes d’un scénario hollywoodien. Un livre saisi en même temps qu’une inconnue, un choc maladroit dans la rue, une rencontre dans un parc avec un chien pour complice… Autant de situations typiques qui, dans ses films passés, auraient mené à une idylle.

Mais ici, l’acteur brise les attentes : pas de sourire charmeur, pas de séduction. Fatigué de son image de séducteur éternel, il esquive chaque cliché et file retrouver la vraie récompense de sa journée : un dîner livré à domicile.

De l’amour au réconfort

Avec son slogan « When You’ve Done Enough, Uber Eats » (« Quand Vous En Avez Assez Fait, Uber Eats »), la marque appuie sur une idée simple : il y a des moments où l’on a assez donné, où l’on préfère le confort à la mise en scène. L’humour naît du contraste entre l’univers fantasmé des romcoms et la banalité assumée du quotidien. Comme le souligne Jude Law : « Nous avons tous ces instants où l’on veut simplement se détendre. » Ici, la star se débarrasse de son aura romantique pour se réinventer en homme ordinaire savourant ses ailes de poulet.

Une campagne à grande visibilité

Déployée au Royaume-Uni à partir de septembre 2025, la campagne est diffusée en TV, affichage, digital et social media. Elle s’inscrit dans une saga créative où Uber Eats aime jouer avec les codes de la célébrité pour surprendre le public. Après avoir tourné Javier Bardem en méchant lassé de son rôle et fait incarner le couple Beckham dans une satire de leur quotidien, la marque poursuit ici son fil rouge : réinventer ses ambassadeurs en les mettant face à leurs propres clichés.

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