Lunchr se moque des titres-resto traditionnels en détournant le meme « El Risitas »

Aujourd’hui, nous mettons en lumière une startup française qui fait beaucoup parler d’elle en ce moment. Si vous n’avez pas aperçu les affiches dans le métro, vous les avez peut-être vues dans les pages des journaux. Sur celles-ci, des chefs d’entreprise prennent la pose à côté d’un texte en gras…

Crédits : Lunchr / Agence Belle

La société derrière cette communication décalée s’appelle Lunchr. Créée en février 2018, elle propose de dématérialiser les titres-resto en remplaçant le traditionnel carnet par une carte bancaire rapide et facile d’usage. « Notre ambition est de proposer aux employeurs et aux employés une solution unique et bien meilleure que celle qu’ils ont pu avoir depuis 50 ans, avec les titres-restaurant en papier », explique Loïc Soubeyrand, le fondateur et PDG de Lunchr, dans un communiqué relayé par Business Insider en février dernier.

Le moyen de paiement se présente donc sous la forme d’une carte bancaire : avec ou sans contact, à vous de choisir. Le montant à dépenser est limité à 19 euros par jour (limite légale quotidienne), mais il est toujours possible d’augmenter ce plafond en ajoutant votre carte bancaire au compte Lunchr pour compléter au bout ! Un système bien pratique, qui fait gagner du temps lorsqu’il faut payer, c’est sûr.

Pour communiquer, Lunchr a décidé de jouer la carte de l’absurde et de l’humour décalé. En plus de la campagne de pub dont on vous parlait au-dessus (et que vous retrouverez en fin d’article), la marque s’est amusée à détourner un même célèbre baptisé « El Risitas ». Le nom ne vous dit peut-être rien, mais la vidéo a fait le tour du web pour une raison difficile à ignorer : le rire très communicatif de la personne filmée.

Une vidéo décalée, qui donne le sourire et qui colle parfaitement à la campagne de pub développée en parallèle par l’agence Belle pour Lunchr. Au total, deux campagnes ont été imaginées. La première joue notamment avec Xavier Niel (le PDG de Free, qui est aussi investisseur de la start-up), Marc Simoncini et Fleur Pellerin pour toucher les décideurs. Le second volet, lancé dans la foulée, est quant à lui destiné au grand public, afin de démontrer l’absurdité des titres-resto papier, et lui faire comprendre qu’il est temps de passer à autre chose. Une stratégie gagnante, notamment grâce au côté décalé et original des affiches !

Pour en savoir plus sur Lunchr, rendez-vous sur lunchr.co.

Article sponsorisé par Lunchr

Premier volet de la campagne (BtoB)

Crédits : Lunchr / Agence Belle
Crédits : Lunchr / Agence Belle
Crédits : Lunchr / Agence Belle

Deuxième volet de la campagne (BtoC)

Crédits : Lunchr / Agence Belle
Crédits : Lunchr / Agence Belle
Crédits : Lunchr / Agence Belle
Crédits : Lunchr / Agence Belle
Crédits : Lunchr / Agence Belle
Crédits : Lunchr

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