Tranches poétiques : empilez vos livres pour créer des poèmes

Si vous aimez les livres, il est fort probable que le challenge baptisé Tranches poétiques vous donne des idées. L’objectif est aussi simple que génial : empiler des livres pour créer un poème (ou un message) avec leurs titres.

Lancé par la communauté Facebook “Improbables Librairies, Improbables Bibliothèques” le 24 avril dernier, Tranches poétiques est donc un challenge qui fait appel à la créativité des internautes pour imaginer des petites mises en scène originales. Car oui, les réseaux sociaux peuvent aussi produire des challenges intelligents.

“Vous empilez de 3 à 10 livres que vous avez trouvés dans votre bibliothèque, dans votre librairie ou à la bibliothèque municipale. Vous les agencez de telle façon que leurs titres forment un poème”. Voici la consigne donnée par la page organisatrice de ce concours qui rassemble aujourd’hui des centaines de participants.

Une idée géniale à laquelle on vous encourage de participer ! Pour cela rien de plus simple, il suffit de vous rendre sur la publication de la page Facebook organisatrice et suivre les modalités de participation. De notre côté, on s’est permis de sélectionner les Tranches poétiques les plus intéressantes et les plus amusantes qu’on vous présente ci-dessous. Toutes les participations n’ont pas le statut de poème, mais certaines sont vraiment très trouvées.

Et si les idées autour des livres vous plaisent, on vous recommande les mises en scène fascinantes d’Elizabeth Sagan qui joue avec les livres ou encore ce street-art génial sur un immeuble qui présente… les livres préférés des résidents.

Crédits : Improbables Librairies, Improbables Bibliothèques
Crédits : Improbables Librairies, Improbables Bibliothèques
Crédits : Improbables Librairies, Improbables Bibliothèques
Crédits : France Delarbre
Crédits : Magali Filipetto
Crédits : Martine Chasserot
Crédits : Véronique Arendt
Crédits : Martine Chasserot
Crédits : Brigitte Jacquot
Crédits : Laurent Perier
Crédits : Myriam Crétel
Crédits : Laure Rigou
Crédits : Leila Baert

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