Des glaces de l’Antarctique aux forêts tropicales, les 1839 Photographer of the Year Awards 2025 dévoilent les clichés les plus saisissants de la nature. Cette nouvelle édition met à l’honneur des photographes venus du monde entier, capables de transformer un instant fugace en une scène d’éternité. Leurs images, entre beauté brute et émotion pure, racontent la splendeur du vivant sous toutes ses formes.

Le grand prix revient au Finlandais Risto Raunio pour “Emperor Family”, un portrait d’une famille de manchots empereurs capturé dans la lumière glacée du pôle Sud. Autour de lui, vingt-cinq lauréats révèlent des fragments de nature qui oscillent entre tendresse et puissance : un éléphant joueur, un faucon en plein vol, ou encore un albatros pris dans le vent. Autant d’histoires silencieuses qui rappellent la richesse et la fragilité du monde sauvage.

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Quand la photographie sublime le vivant

Au-delà de la prouesse artistique, les 1839 Awards célèbrent une démarche engagée : celle de sensibiliser à la préservation du vivant. En donnant à voir la nature dans toute sa complexité, ces images éveillent l’empathie et rappellent que chaque regard peut devenir un acte de protection. Des scènes d’Afrique aux profondeurs marines, les photographes immortalisent la beauté de ce qui disparaît trop vite et transforment l’art en plaidoyer pour la planète.

Et pour prolonger votre immersion dans la beauté du monde animal, découvrez une autre facette plus légère de la nature avec les 40 clichés finalistes du Comedy Wildlife Photography Awards 2025, un concours qui célèbre l’humour et la spontanéité du vivant.

Wildlife Photographer of the Year : Famille impériale — Risto Raunio
Argent : Le gardien de l’heure bleue — Alexander Tasho
Argent : L’envol d’Apollon — Paal Hermansen
Bronze : La force de l’Afrique — Barbara Fleming
Bronze : Connection — Barbara Fleming
Bronze : Chasseurs de minuit — Wayne Sorensen
La prise du jour — Renée Giffroy
Puissance — Andy Lerner
Utopie dorée — Michael Mihaljevich
Face à l’horizon — Steve Sorensen
Le chant du rorqual — Meysam Makvandi
Sa Majesté — David Breslauer
La précision du vol — Jan-Tore Oevrevik
Le guetteur de l’ombre — Alexander Tasho
Le chef de meute — Damir Zurub
Observer sans bruit — Dave Shaffer
Éclats de passage — Luiza Michalewicz
Martin-pêcheur sur glace — Vince Burton
Grue du Japon — Hiroto Fukuda
Albatros à sourcils noirs — Barbara Fleming
Après le festin — Paal Hermansen
En ligne de mire — David Breslauer
Crépuscule sur l’aigrette — Kevin Hancock
Le combat de cri — Barbara Fleming
L’instant du décollage — Guido Frazzini