L’idée créative en un clin d’œil
- Pour lancer Diftember, son mois de la solidarité, Dift choisit l’humour provocateur avec une campagne centrée sur un homonyme de Bernard Arnault et une accroche mémorable : “Donnez votre argent à Bernard Arnault.”
- Le film, tendre et décalé, suit ce passionné de forêt qui crée une cagnotte via Dift pour soutenir l’association États Sauvages, montrant comment une indignation personnelle peut devenir une action collective.
- Avec ce ton moderne et accessible, Dift veut séduire de nouveaux donateurs et prouve que n’importe qui peut lancer une cagnotte pour défendre une cause. Un appel à la solidarité aussi audacieux qu’efficace.
Pour son mois de la solidarité, Dift choisit l’humour frontal plutôt qu’un message lisse. La plateforme de cagnottes solidaires dévoile Diftember, une opération qui encourage chacun à créer sa propre collecte pour soutenir une cause qui lui tient à cœur. Et pour marquer les esprits dès sa première édition, la marque centre sa campagne sur un personnage inattendu : Bernard Arnault, 62 ans, amoureux des forêts… et désormais figure d’appel pour une cagnotte caritative.
“Donnez votre argent à Bernard Arnault. » Derrière cette accroche volontairement provocatrice, Dift fait passer un message simple : n’importe qui peut ouvrir une cagnotte pour défendre une cause, même quelqu’un qui ne semble pas en avoir besoin. Et surtout, la solidarité gagne en force lorsqu’elle s’incarne dans des histoires personnelles.
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Un film qui détourne les codes de la générosité
Le spot imaginé par Alede Corp. suit Bernard Arnault (un homonyme du célèbre milliardaire), filmé dans l’espace où il se sent chez lui : la forêt. Dans cette bulle de calme, il se promène, observe, s’emporte contre les déchets abandonnés, parle à la nature comme à une vieille amie. Le film prend le temps d’installer le personnage, de montrer sa passion sincère et presque naïve pour cet environnement qu’il chérit.
Puis vient la question centrale : comment agir davantage lorsqu’on se sent impuissant face à l’ampleur du problème ? Le récit bifurque alors vers Dift, présentée comme la solution idéale pour transformer une indignation personnelle en action collective. Bernard crée une cagnotte, choisit de soutenir l’association États Sauvages, et appelle les autres à contribuer à sa manière… d’où cette injonction volontairement absurde : “Donnez votre argent à Bernard Arnault”.
Une accroche déroutante pour parler d’un enjeu très sérieux
Ce contrepied humoristique fonctionne précisément parce qu’il contraste avec la gravité du sujet. Loin d’un discours moralisateur, la campagne rappelle que la cause, ici la protection des forêts françaises, n’a rien de farfelu. C’est la manière de l’aborder qui change. Dift montre qu’on peut mobiliser autrement : avec du second degré, un ton plus social, une histoire à hauteur d’homme. L’affichage, déployé dans des lieux stratégiques, appuie cette punchline avec la même audace.
Le dispositif reflète la mission que s’est fixée l’entreprise : ouvrir la générosité à des publics plus jeunes, moins habitués au don traditionnel. Dans un contexte où plus de la moitié des donateurs ont plus de 60 ans, Dift veut séduire un million de primo-donateurs en trois ans en modernisant l’expérience du don : plus simple, plus incarnée, plus proche des codes culturels actuels.

Une plateforme qui fait de chaque individu un acteur du changement
L’opération Diftember n’est pas qu’une campagne, c’est une invitation à agir. En mettant en avant un personnage ordinaire, passionné et légèrement lunaire, Dift montre que tout le monde peut défendre une cause : il suffit de créer une cagnotte, de raconter pourquoi elle compte, et de laisser la communauté prendre part au mouvement. La campagne insiste sur cette dimension personnelle et accessible, où chacun devient un relais de solidarité à son échelle.
Au-delà de l’humour, Dift signe une première prise de parole forte : moderne, décomplexée, et construite pour être partagée. Une façon de rappeler que la générosité prend mille formes et qu’elle peut très bien commencer par un sourire et une punchline bien sentie.












