La rencontre de la nature et de l’art donne souvent vie à des œuvres libres remplies de poésie comme le démontrent parfaitement les sculptures en bois flotté de l’artiste britannique James Doran-Webb.

Dès l’enfance, il se passionne pour les constructions en bois et crée ses premières maquettes dans les ateliers de restauration d’antiquités de ses parents entre le Royaume-Uni et la France. C’est donc tout naturellement qu’il débute une carrière d’antiquaire et d’ébéniste, spécialisé dans la restauration d’objets et de meubles en chêne et noyer.

Découvrez l'agence
de Creapills

  • Stratégie de communication 360°
  • Accompagnement social media
  • Activation virale
  • Visibilité garantie
Découvrir l’agence

À la fin des années 80, le sculpteur voyage pour la première fois aux Philippines, un pays qui le fascine, avant de s’y installer définitivement quelques années plus tard. C’est là-bas qu’il débute sa série de majestueuses sculptures d’animaux et de créatures fantastiques à partir de bois flotté récupéré dans les forêts et sur les plages de l’île de Cébu.

Pour certaines créations, il s’est associé avec des artisans pour donner vie à des sculptures grandeur nature qui auront nécessité entre 1000 et 3000 heures de dur labeur. D’une façon intrigante et poétique, il tient à mettre en lumière la puissance, la musculature et le regard de chaque être qu’il crée.

En tant qu’artiste engagé en faveur de la nature, James participe activement au programme « 80 000 arbres » qui consiste à planter 80 000 arbres sur l’île de Cébu en 15 ans. Une manière de rendre à la nature ce qu’elle lui donne.

On vous laisse admirer ci-dessous les incroyables sculptures en bois flotté de James Doran-Webb, à retrouver sur son site Internet et sa page Facebook. Et dans une créativité similaire, nous vous proposons de (re)découvrir les sculptures humaines troublantes avec du bois flotté de l’artiste Nagato Iwasaki.

Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
[wp_ad_camp_4]
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb
Crédits : James Doran-Webb