Cette assiette cache des sujets de conversation pour éviter les repas de fêtes malaisants

Les vacances de Noël approchent à grands pas et les traditionnels repas de fêtes aussi. Vous allez bientôt avoir le plaisir de retrouver vos proches pour de grandes tablées comme seule cette période sait le faire. Mais parfois, ces repas qui rassemblent de la famille plus ou moins éloignée s’annoncent souvent longs et demandent un certain talent pour trouver des sujets de conversation. Notamment lors de l’inévitable moment où votre oncle un peu pompette sent le besoin de partager ses opinions xénophobes ou ses théories du complot…

C’est pourquoi au Canada, l’agence de communication Rethink a imaginé un dispositif insolite baptisé la Conversassiette. L’idée ? Une assiette de service à l’allure banale qui cache discrètement des sujets de conversation pour relancer un petit sujet suite à un blanc malaisant.

Le fonctionnement est simple. Lorsqu’un membre de votre famille abordera un sujet politique, inapproprié ou grivois, regardez attentivement dans votre plat et récitez à voix haute des sujets de conversation inscrits dans les détails de l’assiette tels que : « Que ce passerait-il si les groupes de musique pouvaient faire des échanges comme les équipes de Hockey ? »

Vous l’avez compris, on est ici sur un dispositif humoristique, pas vraiment utile mais plutôt amusant. Un petit cadeau insolite imaginé par une agence de communication pour faire parler d’elle en cette fin d’année. La Conversassiette a été produite à 600 exemplaires et va notamment être envoyée aux clients de l’agence dans les prochains jours partout au Canada.

En tout cas, on trouve l’idée originale car elle répond avec créativité à une problématique que l’on connaît tous. Et si vous aimez les idées autour des assiettes ingénieuses, on vous recommande de consulter notre article sur la onehandplate : une assiette qui permet aux personnes handicapées de manger avec une seule main.

Crédits : Rethink (Canada)
Crédits : Rethink (Canada)
Crédits : Rethink (Canada)
Crédits : Rethink (Canada)
Crédits : Rethink (Canada)

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